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Fusiondes caisses « congĂ©s intempĂ©ries BTP » du Grand ouest et de la MĂ©diterranĂ©e: le ministĂšre du travail agrĂ©e! 1. DĂ©crets, arrĂȘtĂ©s, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL ArrĂȘtĂ© du 21 mars 2017 portant agrĂ©ment de la caisse « CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - CongĂ©sIntempĂ©ries BTP Caisse Sud-Ouest. ordres professionnels Antenne de Bordeaux -. r ThĂ©odore Blanc, 33520 BRUGES BRUGES. CONGESINTEMPERIES BTP CAISSE DU CENTRE-OUEST », pour l'application des lois et rĂšglements sur les congĂ©s annuels payĂ©s. Son siĂšge est Ă©tabli Ă  TOURS, 28 rue François Hardouin. Il peut ĂȘtre transfĂ©rĂ© en tout autre endroit de la circonscription de la caisse sur simple dĂ©cision du conseil d’administation. OBJET ARTICLE 2 La caisse a pour objet : 1°) d'effectuer le ï»żCONGÉSINTEMPÉRIES BTP / 3. ACTIF. 31/03/2020 31/03/2019. PASSIF. 31/03/2020 31/03/2019 . COMPTES COMBINÉS DU RÉSEAU CIBTP| ACTIF IMMOBILISÉ 126 145 108 360 FONDS PROPRES 933 548 915 874. Immobilisations incorporelles 33 751 37 011 - dont rĂ©sultat 91 111 112 187 Immobilisations corporelles 87 826 66 620 - dont rĂ©serve statutaire 564 363 605 499 Lecode caisse professionnelle de congĂ©s payĂ©s Le code mĂ©tier Le code classification Le code pour base brute de cotisation congĂ©s payĂ©s Le code pour assiette brute plafonnĂ©e (intempĂ©ries) Le code de cotisation assise sur le nombre d’heures d’intĂ©rim h h h h h h h S21.G00.40.017 S21.G00.40.022 S21.G00.40.005 S21.G00.40.041 S21.G00.78.001 Site De Rencontre Gratuit Non Payant Serieux. Le chantier du chĂąteau de Fontainebleau en janvier 2006 Gilles Coulon/TF ObsolĂšte, inique, discriminant » une poignĂ©e de petits patrons du BTP n’ont pas de mots assez durs pour dĂ©noncer le systĂšme des caisses de congĂ©s payĂ©s du bĂątiment. Un systĂšme hĂ©ritĂ© du Front populaire, vĂ©ritable vache Ă  lait pour les puissantes fĂ©dĂ©rations du bĂątiment avec des pratiques qui, du point de vue de ces entreprises, s’apparentent Ă  de l’extorsion de suite aprĂšs la publicitĂ© Le gouvernement, le Medef et mĂȘme l’ElysĂ©e tout le monde sait, mais personne ne veut y mettre de l’ordre. EnquĂȘte sur un scandale qui menace aujourd’hui des dizaines de PME du secteur. A Limoges, les premiers contestataires dĂ©noncent l’adhĂ©sion obligatoire aux caisses La rĂ©volte est partie de Limoges. Au dĂ©but, ils sont une poignĂ©e, emmenĂ©s par une figure de proue Henri Maillot, chef d’équipe dans une PME de 40 personnes spĂ©cialisĂ©e dans le gros oeuvre. SalariĂ© et associĂ© de son entreprise, Maillot a un jour la curiositĂ© d’examiner les comptes. Il dĂ©couvre alors les cotisations mensuelles versĂ©es Ă  la Caisse des congĂ©s payĂ©s du BTP du Centre-Ouest. Une grosse somme pour son entreprise plus de 170 000 euros par an. Il interroge son PDG, qui lui rĂ©pond, fataliste On ne peut rien faire contre la Caisse... »La suite aprĂšs la publicitĂ© A Bagnolet en novembre 2004 Philippe Lopparelli/TF Un mĂ©canisme hĂ©ritĂ© des annĂ©es 30, oĂč les ouvriers changeaient d’employeurs chaque jour Volontiers frondeur, Henri Maillot, titulaire d’une maĂźtrise d’administration des entreprises AES, plutĂŽt rare Ă  ce niveau, parle haut lorsqu’il Ă©voque l’argent des congĂ©s payĂ©s. Un systĂšme unique en France, qui existe depuis 1937. A l’époque, les ouvriers du bĂątiment changent souvent de chantiers et d’employeurs. Au moment des vacances, ils n’ont parfois aucune garantie de toucher les fameux congĂ©s payĂ©s. Pour assurer des vacances Ă  tous, les patrons crĂ©ent donc des caisses qui collectent les cotisations et les redistribuent aux intĂ©ressĂ©s. Ces caisses prennent ensuite la gestion des congĂ©s intempĂ©ries Ă  partir de 1946 -une allocation versĂ©e en cas de pluie ou de neige- puis Ă  partir de 1985, les activitĂ©s de l’OPPBTP, la branche hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©vention du BTP. Voir le document Aujourd’hui, 32 caisses se partagent l’énorme gĂąteau des vacances des ouvriers du bĂątiment plus de 5 milliards d’euros par an. Comme le montre cet appel de cotisation de la Caisse de la RĂ©gion de Paris, les congĂ©s payĂ©s sont facturĂ©s Ă  hauteur de 19,6% du \ total des salaires plafonnĂ©s dĂ©clarĂ©s Ă  l’Urssaf\ », lĂ  oĂč, en moyenne, le coĂ»t des congĂ©s ne dĂ©passe pas les 14% ! La suite aprĂšs la publicitĂ© Le systĂšme prive les entreprises d’une annĂ©e de trĂ©sorerie Pour de nombreux entrepreneurs, le systĂšme est aujourd’hui complĂštement obsolĂšte. D’abord, parce que 80% des salariĂ©s du secteur sont dĂ©sormais fixes, trĂšs souvent en CDI dans un secteur frappĂ© par la pĂ©nurie de main-d’oeuvre. Selon la Dares, le taux de rotation turn over est de 22,2% dans la construction, Ă  comparer avec les 40% de l’ensemble des mĂ©tiers. Autre critique le mĂ©canisme de versement des cotisations prive les entreprises d’une part importante de leur trĂ©sorerie, dans la mesure oĂč elles sont obligĂ©es de cotiser un an Ă  l’avance... Henri Maillot parle carrĂ©ment d’une confiscation » Henri Maillot et ses amis n’en sont pas Ă  leur premiĂšre escarmouche avec les caisses du BTP. En 2004, aprĂšs la diffusion d’un tract critique sur le sujet, il est poursuivi pour diffamation publique par la Caisse de surcompensation, devenue entretemps l’Union des Caisses de France. Il sera relaxĂ© sur une nullitĂ©. Mais le dĂ©bat juridique est posĂ©. L’argument d’Henri Maillot ? Les caisses de congĂ©s payĂ©s ne respectent pas le principe de libertĂ© d’association. Jusqu’à maintenant, la jurisprudence donne raison aux caisses. Des jugements qui vont clairement Ă  l’encontre d’un principe formellement reconnu par la Cour europĂ©enne des droits de l’homme CEDH de suite aprĂšs la publicitĂ© Des tribunaux de commerce et des organisations patronales du bĂątiment Autre exemple Patrick Couturas, menuisier Ă  Eyjeaux, petite bourgade prĂšs de Limoges. Avec son unique employĂ©, cela fait vingt-cinq ans qu’il fabrique des escaliers en bois pour les particuliers. L’entreprise tourne correctement, sans plus. Aujourd’hui, la caisse de Limoges lui rĂ©clame 1900 euros de cotisations. Huissier, commandement Ă  payer, ordonnance de comparution devant le tribunal de commerce. Dont l’actuel prĂ©sident, RenĂ© Dufour, fut aussi vice-prĂ©sident de la Caisse du centre-ouest CCPBCO pendant douze ans ! L’actuel prĂ©sident de la Caisse du Limousin, Jacques Raynaud, est quant Ă  lui aussi prĂ©sident de la Banque Populaire Centre Atlantique... la banque de Patrick Couturas. Notre menuisier a beau avoir le sens de l’humour, il ne se sent pas vraiment Ă©coutĂ© par ses interlocuteurs Rien n’est Ă©pargnĂ© aux PME Ă©voluant en marge du BTP La suite aprĂšs la publicitĂ© Un univers contrĂŽlĂ© par les patrons Les statuts rĂ©gissant les caisses, comme celui de la caisse du Haut-Rhin, dĂ©finissent un objet social trĂšs Ă©tendu article2 En outre, elle peut prĂȘter son concours toutes les fois qu’il lui est demandĂ© par les pouvoirs publics, pour des fins dĂ©terminĂ©es par ceux-ci, mĂȘme en dehors de son objet tel qu’il est dĂ©fini ci-dessus. » Une formule aussi vague que large. Mieux l’association fonctionne grĂące Ă  un bureau, Ă©lu par ses membres. Lesquels membres ont aussi le droit d’ĂȘtre reprĂ©sentĂ©s Ă  l’AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, mais sur un mode trĂšs particulier article 20 de dĂ©signation des reprĂ©sentants Ces reprĂ©sentants ont droit Ă  autant de voix que les adhĂ©rents qu’ils reprĂ©sentent ont versĂ© de fois,dans l’exercice prĂ©cĂ©dant l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, un montant de cotisations de congĂ©s payĂ©s Ă©gal Ă  l’abattement prĂ©vu par l’article R. 731-18 du code du travail, tel qu’il est connu la veille de l’assemblĂ©e. » En clair, ce sont les syndicats membres de droit » qui font et dĂ©font les majoritĂ©s au sein des caisses. Qui sont-ils ? Quatre organisations patronales, lĂ  aussi clairement indiquĂ©es dans les statuts de l’UCF la FFB fĂ©dĂ©ration française du bĂątiment, la FNTP fĂ©dĂ©ration nationale des travaux publics, la CAPEB confĂ©dĂ©ration de l’artisanat et des petites entreprises du bĂątiment et la FNSNOP fĂ©dĂ©ration nationale des sociĂ©tĂ©s coopĂ©ratives de production du bĂątiment. La suite aprĂšs la publicitĂ© Partout en France, les 32 Caisses de congĂ©s payĂ©s se montrent intraitables, envoyant leurs contrĂŽleurs assermentĂ©s vĂ©rifier l’activitĂ© de chaque sociĂ©tĂ©. L’aventure est arrivĂ©e Ă  la sociĂ©tĂ© Michel Rezig, basĂ©e Ă  Sarcelles. Créée en 1995, cette PME de sept personnes trois administratifs, quatre en production est spĂ©cialisĂ©e dans le commerce de tissus industriels, de type stores, bĂąches ou tissus isolants pour les chambres froides. En 2003, la Caisse du BTP de Paris effectue un premier contrĂŽle, Ă  l’issue duquel elle rĂ©clame l’affiliation immĂ©diate de l’entreprise, parce que deux employĂ©s rĂ©alisent aussi la pose des tissus vendus. Pourtant, Rezig est loin de l’univers du BTP. Tout ces employĂ©s travaillent en atelier ou, chez les clients, dans des endroits protĂ©gĂ©s des intempĂ©ries. Ici, pas d’emploi prĂ©caire. La sociĂ©tĂ© marche bien, mais rien Ă  faire, la Caisse attaque... et gagne, devant le tribunal de commerce de Pontoise, puis devant la cour d’appel de Versailles. Motif L’adhĂ©sion obligatoire de l’employeur, contestĂ©e par la sociĂ©tĂ© appelante, est une mesure nĂ©cessaire Ă  la protection des droits et de la santĂ© des salariĂ©s, en leur assurant le paiement non seulement des congĂ©s payĂ©s mais aussi celui des indemnitĂ©s de chĂŽmage-intempĂ©ries, rĂ©gime dont les caisses sont Ă©galement chargĂ©es ; qu’elle n’est donc pas contraire Ă  l’article 11 de la convention europĂ©enne de sauvegarde des droits de l’homme. »MalgrĂ© un pourvoi en Cour de cassation, la Caisse de Paris menace toujours Rezig d’une inscription-privilĂšge au greffe. Ce qui signifierait la liquidation pure et simple de la sociĂ©tĂ©, comme l’explique Catherine Glise, responsable administrative de la sociĂ©tĂ© La principale critique des entrepreneurs concerne l’opacitĂ© des comptes de ces caisses. En thĂ©orie, ils sont certifiĂ©s par un commissaire aux comptes. Mais Pascal Sanchez, PDG d’Emaplast 40 salariĂ©s, qui a cotisĂ© trois ans, a une autre vision La suite aprĂšs la publicitĂ© Seul Ă©lĂ©ment d’information les caisses ont toujours affirmĂ© qu’elles parviennent Ă  assurer leurs frais de fonctionnement grĂące aux produits financiers de la trĂ©sorerie des cotisations. Dans ce cas, comment expliquer la diffĂ©rence de 4 Ă  6% constatĂ©e entre le systĂšme en vigueur dans les autres secteurs et celui des caisses du BTP ? Pascal Sanchez estime cet Ă©cart Ă  environ 500 euros par salariĂ© et par an. Soit, au total, une charge supplĂ©mentaire pour lui de 17486 euros par an. A toutes ces critiques, l’Union des caisses de France rĂ©pond statut » et garantie des droits des salariĂ©s ». Sa directrice, Claudine Metz, a acceptĂ© de rĂ©pondre Ă  Rue89 sur le manque de transparence constatĂ© par certains de ses adhĂ©rents. Les cotisations, dit-elle, couvrent exactement le coĂ»t des congĂ©s payĂ©s, tel qu’ils sont payĂ©s par les caisses avec un certain nombre d’avantages, notamment une prime de vacances de 30% » Une longue liste d’abus, plus ou moins connus... Si les comptes sont opaques, le train de vie des administrateurs des caisses l’est tout autant. Officiellement, ceux-ci sont bĂ©nĂ©voles comme tout dirigeant d’association. De plus, elles n’ont pas le droit de faire des profits comme l’indique leur statut article 2 La suite aprĂšs la publicitĂ© La caisse, n’exerçant pas d’activitĂ© Ă©conomique, s’interdit tout bĂ©nĂ©fice. »Le plus grand flou rĂšgne sur les petits et grands privilĂšges des administrateurs, cooptĂ©s par les organisations patronales. Le 14 octobre 2003, les administrateurs de la caisse de Limoges ont ainsi choisi le ChĂąteau des Reynats, prĂšs de PĂ©rigueux -un magnifique hĂŽtel-restaurant quatre Ă©toiles- pour tenir le conseil d’administration de la CCPBCO. A la lecture du procĂšs-verbal, surprise les dĂ©bats commencent Ă  13h00 pour s’achever Ă ... 13h15. Juste le temps de réélire le mĂȘme bureau pour trois ans ! Idem pour la caisse de Rennes. Cette fois-ci, nous sommes en octobre 2007 et les administrateurs dĂ©cident de tenir leur assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale annuelle Ă ... Montpellier. Rendez-vous un vendredi Ă  16 heures pile, pour bien commencer le week-end. Inutile de prĂ©ciser que les adhĂ©rents n’ont rien eu Ă  redire, puisqu’il fallait lire le bulletin d’annonces lĂ©gales des Petites affiches pour ĂȘtre au courant de cette AG. Sans oublier les amĂ©nagements luxueux des siĂšges, comme l’entrĂ©e de la caisse de Nantes pavĂ©e de travertin d’Italie, un marbre rouge aux reflets chatoyants A Mulhouse, la justice sanctionne voyages et contrats d’assurance-vie trop exotiques En 1996, certains administrateurs de Colmar adressent une lettre anonyme au parquet de Mulhouse, pour dĂ©noncer les agissements frauduleux » du prĂ©sident de la Caisse du Haut-Rhin, de son directeur et d’une poignĂ©e d’administrateurs. AprĂšs une longue enquĂȘte du SRPJ, les policiers Ă©tablissent les suite aprĂšs la publicitĂ© D’abord, un systĂšme de contrats d’assurance-vie au bĂ©nĂ©fice des administrateurs. Contrats financĂ©s par la caisse, en guise de rĂ©munĂ©ration cachĂ©e de leur mandat. Pour le prĂ©sident, le contrat prĂ©voyait un versement de 25000 francs 3810 euros par an sur dix ans, avec un versement initial de 125000 francs 19054 euros. Pas mal pour un bĂ©nĂ©vole, mais en droit, les juges retiendront l’abus de confiance. MĂȘme chose, en plus modeste, pour quatre membres du bureau qui plaident la bonne foi ». Jean-Claude Biwand aimait aussi les voyages pour assister Ă  des symposium, congrĂšs ou rĂ©unions », dont il fera profiter le directeur salariĂ© de la caisse. AccompagnĂ©s de leur Ă©pouse, les deux hommes vont Ă  la Nouvelle-OrlĂ©ans Etats-Unis puis aux Antilles aux frais de la princesse. Sans oublier de menus frais de dĂ©placements exagĂ©rĂ©ment gonflĂ©s. Jugement en 2002 six mois de prison avec sursis pour le prĂ©sident indĂ©licat, une amende pour le directeur et relaxe au bĂ©nĂ©fice du doute » pour les autres. L’affaire n’a pas dĂ©passĂ© la Une de la presse locale. La rĂ©volte de la plasturgie contre les caisses du BTP C’est sans doute l’un des tout derniers dĂ©crets signĂ©s Dominique de Villepin, Premier ministre ». Le 11 mai 2007, alors qu’il va quitter l’hĂŽtel Matignon, le chef du gouvernement appose son paraphe Ă  un texte rĂ©gissant les relations entre les caisses et les organisations patronales reprĂ©sentatives d’une branche professionnelle autre que celle du bĂątiment ». Le dĂ©cret fait rĂ©fĂ©rence Ă  des accords » sur les rĂšgles d’affiliation. La suite aprĂšs la publicitĂ© En fait, ce simple dĂ©cret est le rĂ©sultat de trois annĂ©es de nĂ©gociations acharnĂ©es entre, d’un cĂŽtĂ© un collectif de professions emmenĂ© par la FĂ©dĂ©ration de la plasturgie et, de l’autre, l’Union des caisses de France. Comme le souligne un communiquĂ© de presse commun, l’accord signĂ© en mars 2007 permet Ă  ces entreprises de sortir du systĂšme des caisses. A condition de dĂ©montrer que leur activitĂ© de pose bĂątiment » n’excĂšde pas 10% de leur chiffre d’affaires. Sinon, c’est l’affiliation obligatoire. Au cours des discussions, le collectif a tentĂ© de faire valoir l’argument des conventions collectives ne seraient affiliĂ©es que les entreprises relevant de la convention du bĂątiment. Refus ferme et dĂ©finitif de l’Union des caisses de France. Les caisses collectent aussi les cotisations volontaires aux organisations patronales Sous l’égide de la Direction des relations du travail, le BTP a fini par obtenir gain de cause... tout en s’engageant Ă  cesser de collecter de façon abusive les cotisations volontaires destinĂ©es aux organisations patronales. Le gouvernement aurait mĂȘme promis une circulaire pour interdire formellement l’amalgame pratiquĂ© par des nombreuses caisses qui rĂ©clament, au milieu des cotisations congĂ©s payĂ©s, la cotisation FFB » ou CAPEB ». La suite aprĂšs la publicitĂ© Une pratique tout Ă  fait illĂ©gale », pour le chef d’entreprise Pascal Sanchez Pour la directrice de l’Union des caisses de France, tout cela est faux. Claudine Metz est formelle, il n’a jamais Ă©tĂ© question d’une telle mesure AprĂšs de nombreuses relances, le service communication de la FĂ©dĂ©ration Française du BĂątiment a fini par nous faire savoir que D’une façon gĂ©nĂ©rale, le prĂ©sident de la FFB ne s’exprime pas sur ce sujet des caisses de congĂ©s payĂ©s du BTP. »Il faut dire que, outre sa proximitĂ© avec Laurence Parisot, Christian Baffy occupe un poste stratĂ©gique du Medef vice-prĂ©sident trĂ©sorier. Raison sociale CIBTP CAISSE DU CENTREAdresse SECTION PERSONNEL 28 Rue FRANCOIS HARDOUIN 37100 TOURSSIREN 775 347 867SIRET siĂšge 77534786700050Secteur d’activitĂ© ActivitĂ©s des organisations patronales et consulaires juridique Association dĂ©clarĂ©eDĂ©but d’activitĂ© 1 janvier 1900Effectifs 50 à 99 salariés Version initiale La ministre du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social,Vu le code du travail, notamment ses articles L. 3141-32 et L. 3141-33 ;Vu l'article D. 3141-12 prĂ©voyant l'institution de caisses de congĂ©s payĂ©s en vue de l'application des dispositions susvisĂ©es au personnel des entreprises exerçant une ou plusieurs activitĂ©s entrant dans le champ d'application des conventions collectives nationales Ă©tendues du bĂątiment et des travaux publics ;Vu le dĂ©cret du 18 janvier 1937 relatif aux congĂ©s annuels payĂ©s des industries du bĂątiment et des travaux publics ;Vu le dĂ©cret du 7 juillet 2015 pris pour l'application de la loi du 31 juillet 2014 sur l'Ă©conomie sociale et solidaire et relatif aux associations ;Vu l'arrĂȘtĂ© du 8 mars 1937 dĂ©terminant les conditions d'agrĂ©ment et de fonctionnement des caisses de congĂ©s payĂ©s dans les industries du bĂątiment et des travaux publics ;Vu l'arrĂȘtĂ© du 26 avril 1937 portant agrĂ©ment de la caisse de congĂ©s payĂ©s du bĂątiment de la rĂ©gion de Tours, devenue caisse congĂ©s intempĂ©ries BTP - caisse de Tours rĂ©gion Centre » par arrĂȘtĂ© du 2 avril 2014 ;Vu la dĂ©claration du 5 dĂ©cembre 1946 faite Ă  la prĂ©fecture de la Haute-Vienne relative Ă  la constitution de la caisse du Centre-Ouest pour congĂ©s payĂ©s ;Vu la demande formulĂ©e par l'Union des caisses de France du rĂ©seau CongĂ©s IntempĂ©ries BTP d'agrĂ©er la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest » pour assurer le service des congĂ©s payĂ©s des entreprises du secteur du bĂątiment dans les dĂ©partements de la Creuse, de la Dordogne, de l'Eure, de l'Eure-et-Loir, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire, du Loir-et-Cher et de la Haute-Vienne en date du 18 janvier 2017 ;Vu la dĂ©libĂ©ration de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire de CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest en date du 24 novembre 2016 ;Vu la dĂ©libĂ©ration de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire de la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse de Tours rĂ©gion Centre » en date du 25 novembre 2016 ;ConsidĂ©rant que le processus de fusion-absorption avec dĂ©volution du patrimoine de la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest » par la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse de Tours rĂ©gion Centre » pour assurer le service des congĂ©s payĂ©s des salariĂ©s des entreprises du secteur du bĂątiment des dĂ©partements de la Creuse, de la Dordogne, de l'Eure, de l'Eure-et-Loir, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire, du Loir-et-Cher et de la Haute-Vienne est menĂ© dans le respect des conditions dĂ©terminĂ©es par le ministĂšre chargĂ© du travail, Ă  savoir la continuitĂ© et la qualitĂ© du service rendu aux employeurs comme aux salariĂ©s, la maĂźtrise des coĂ»ts afin de garantir la stabilitĂ© des taux de cotisations, l'information et la consultation des salariĂ©s des caisses concernĂ©es et, le cas Ă©chĂ©ant de leurs reprĂ©sentants, l'information des adhĂ©rents et de leurs salariĂ©s des objectifs et conditions de rĂ©alisation du projet ;ConsidĂ©rant que le processus de fusion-absorption avec dĂ©volution du patrimoine de la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest » par la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse de Tours rĂ©gion Centre » pour assurer le service des congĂ©s payĂ©s des salariĂ©s des entreprises du secteur du bĂątiment des dĂ©partements de la Creuse, de la Dordogne, de l'Eure, de l'Eure-et-Loir, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire, de Loir-et-Cher et de la Haute-Vienne est menĂ© dans le respect des conditions dĂ©terminĂ©es par le dĂ©cret du 7 juillet 2015 portant sur le contenu du projet de fusion, la publicitĂ©, la mise Ă  disposition des documents relatifs au projet et la dĂ©signation d'un commissaire Ă  la fusion ;ConsidĂ©rant que la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse de Tours rĂ©gion Centre » et la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest » ont dĂ©fini conjointement les modalitĂ©s de la fusion dans un document intitulĂ© TraitĂ© de fusion - dĂ©volution en date du 25 novembre 2016 ;ConsidĂ©rant l'engagement des caisses concernĂ©es de rendre compte de la mise en Ɠuvre de la fusion Ă  chacune des Ă©tapes de sa rĂ©alisation Ă  leurs conseils d'administration, Ă  l'Union des caisses de France du rĂ©seau CongĂ©s IntempĂ©ries BTP, ainsi qu'au ministĂšre chargĂ© du travail ;ConsidĂ©rant que l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire de la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest » en date du 24 novembre 2016 a approuvĂ© le principe et les modalitĂ©s de la fusion-dĂ©volution de cette caisse avec la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse de Tours rĂ©gion Centre », sa dissolution ainsi que la transmission universelle de son patrimoine Ă  ladite caisse ;ConsidĂ©rant que l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire de la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse de Tours rĂ©gion Centre » en date du 25 novembre 2016 a approuvĂ© le principe et les modalitĂ©s de la fusion-dĂ©volution avec la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest », la transmission universelle du patrimoine de ladite caisse, ainsi que l'adoption de nouveaux statuts et rĂšglement intĂ©rieur Ă©tablis en conformitĂ© avec les statuts et rĂšglement intĂ©rieur types votĂ©s par le conseil d'administration de l'Union des caisses de France et pris acte de l'adhĂ©sion des membres des caisses CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest » ;ConsidĂ©rant qu'Ă  l'issue de ce processus de fusion-dĂ©volution la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse de Tours rĂ©gions Centre » sera renommĂ© la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest » ;ConsidĂ©rant qu'il y a lieu, au regard de l'ensemble de ces garanties, de dĂ©livrer l'agrĂ©ment Ă  la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest » ainsi renommĂ©e, pour Ă©tendre sa compĂ©tence territoriale aux dĂ©partements de la Creuse, de la Dordogne et de la Haute-Vienne dans les conditions dĂ©finies par le prĂ©sent arrĂȘtĂ©,ArrĂȘte La caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest », anciennement dĂ©nommĂ©e caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse de Tours rĂ©gion Centre » est agréée, dans le respect des conditions susvisĂ©es, pour assurer, dans les dĂ©partements de la Creuse, de la Dordogne, de l'Eure, de l'Eure-et-Loir, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire, de Loir-et-Cher et de la Haute-Vienne, le service des congĂ©s payĂ©s au personnel des entreprises exerçant une ou plusieurs activitĂ©s entrant dans le champ d'application des conventions collectives nationales du bĂątiment, dans les conditions fixĂ©es par la loi, les dĂ©crets et arrĂȘtĂ©s susvisĂ©s, ainsi que par le prĂ©sent statuts et le rĂšglement intĂ©rieur de la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest », Ă©tablis en conformitĂ© avec les statuts et le rĂšglement intĂ©rieur types agréés par le ministĂšre en charge du travail et adoptĂ©s par l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire du 25 novembre 2016, sont la rĂ©quisition du ministre chargĂ© du travail, la Caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP - caisse du Centre-Ouest » est tenue de faire la preuve Ă  tout moment, notamment par la communication de piĂšces comptables, qu'elle continue Ă  satisfaire aux conditions auxquelles a Ă©tĂ© subordonnĂ© son prĂ©sent arrĂȘtĂ© prend effet au 1er avril du 3 mars 2017 portant agrĂ©ment de la caisse congĂ©s intempĂ©ries BTP - caisse du Nord-Ouest » pour assurer le service des congĂ©s payĂ©s des salariĂ©s des entreprises du secteur du bĂątiment des dĂ©partements du Calvados, de la Manche, du Nord, de l'Oise, de l'Orne, du Pas-de-Calais, de la Sarthe, de la Seine-Maritime et de la Somme, publiĂ© au Journal officiel du 28 mars 2017, texte n° 25, est directeur gĂ©nĂ©ral du travail est chargĂ© de l'exĂ©cution du prĂ©sent arrĂȘtĂ©, qui sera publiĂ© au Journal officiel de la RĂ©publique le 3 avril la ministre et par dĂ©lĂ©gation Le directeur gĂ©nĂ©ral du travail,Y. StruillouExtrait du Journal officiel Ă©lectronique authentifiĂ© PDF - 210,6 KoRetourner en haut de la page Face Ă  la crise sanitaire actuelle, certains de vos salariĂ©s peuvent ĂȘtre en chĂŽmage partiel ou bien bĂ©nĂ©ficier d'un arrĂȘt de travail dĂ©rogatoire. Ces deux formes de suspension du contrat de travail ont une incidence sur l’acquisition des congĂ©s payĂ©s de vos des congĂ©s payĂ©s principe Le salariĂ© acquiert 2,5 jours de congĂ©s par mois de travail effectif soit 30 jours ouvrables par an. Le temps de travail effectif correspond aux pĂ©riodes de travail accomplies par votre salariĂ©. Certaines pĂ©riodes d'absence de votre salariĂ© sont assimilĂ©es Ă  du temps de travail effectif. DĂšs lors, elles sont prises en compte dans le calcul du nombre de jours de congĂ©s payĂ©s acquis par votre salariĂ©. Les pĂ©riodes d’absence considĂ©rĂ©es comme du temps de travail effectif sont les suivantes les congĂ©s de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente ; le congĂ© de maternitĂ©, d'adoption et de paternitĂ© ; le congĂ©, sous forme de temps partiel, pour accompagner un proche en fin de vie ; les arrĂȘts pour accident du travail, accident de trajet ou maladie professionnelle dans la limite d'une annĂ©e ; les arrĂȘts pour maladie non professionnelle des ETAM et cadres Ă  condition que l'intĂ©ressĂ© puisse justifier d'avoir, au cours de la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence, d'au moins 120 jours, ouvrables ou non, continus ou non, d'exĂ©cution effective du contrat de travail ou de pĂ©riodes qui y sont assimilĂ©es ; le congĂ© de transition professionnelle ; le congĂ© de formation Ă©conomique, sociale et syndicale ; les autorisations d'absences pour Ă©vĂ©nements familiaux ; les heures indemnisĂ©es au titre du chĂŽmage-intempĂ©ries ; les repos compensateurs en matiĂšre d'heures supplĂ©mentaires ; les jours de repos de RTT ; le prĂ©avis non exĂ©cutĂ© par dispense de l'employeur. Toute pĂ©riode Ă©quivalente Ă  4 semaines ou 24 jours est assimilĂ©e Ă  un mois de travail effectif. Ainsi, pour que votre salariĂ© puisse acquĂ©rir l’ensemble de ses jours de congĂ©s annuels, il n'est pas nĂ©cessaire qu’il ait Ă  son actif une annĂ©e complĂšte de travail. En pratique si votre salariĂ© a cumulĂ© au maximum 4 semaines d'absence non assimilĂ©es Ă  du temps de travail effectif durant la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence pour maladie, par exemple, il bĂ©nĂ©ficie tout de mĂȘme de 30 jours ouvrables de congĂ©s annuels par an. si votre salariĂ© ne peut pas justifier d'une annĂ©e complĂšte, il acquiert 2,5 jours ouvrables de congĂ©s payĂ©s pour chaque pĂ©riode de 4 semaines de travail effectif ; ou si le calcul est plus favorable, de 20 jours de travail effectif si les horaires du salariĂ© sont rĂ©partis sur 5 jours par semaine, de 22 jours horaires sur 5 jours 1/2 par semaine, de 24 jours horaires sur 6 jours Si le nombre de jours ouvrables acquis n'est pas un nombre entier, la durĂ©e du congĂ© est portĂ©e au nombre entier immĂ©diatement supĂ©rieur. Enfin, les ETAM et les cadres bĂ©nĂ©ficient d'un congĂ© supplĂ©mentaire pour anciennetĂ©. Acquisition des congĂ©s payĂ©s hypothĂšse de l’arrĂȘt dĂ©rogatoire Les dispositifs dĂ©rogatoires d'arrĂȘts de travail concernent les salariĂ©s qui gardent leurs enfants de moins de 16 ans ; prĂ©sentent un risque de dĂ©velopper une forme grave d'infection ; cohabitent avec une personne fragile. Ces arrĂȘts n’entrent pas dans la catĂ©gorie d’absences prises en compte dans le temps de travail effectif. Ils sont Ă  rapprocher des rĂšgles de l’arrĂȘt maladie. Ceci a Ă©tĂ© confirmĂ© dans le questions-rĂ©ponses du ministĂšre du Travail. Aucune ordonnance apporte des prĂ©cisions sur ce sujet. Il se peut que vos salariĂ©s qui sont actuellement en arrĂȘt pour garde d’enfants ou parce que leur santĂ© est particuliĂšrement fragile voient celui-ci se prolonger jusqu'au 30 avril, ce qui pourra aboutir Ă  un arrĂȘt supĂ©rieur Ă  4 semaines. Vous devrez ĂȘtre vigilant sur le calcul du nombre de jours de congĂ©s acquis pendant cette pĂ©riode, puisqu’il fera certainement l’objet dans ce cas d’une diminution. Acquisition des congĂ©s payĂ©s hypothĂšse du chĂŽmage partiel Le Code du travail dispose que les heures chĂŽmĂ©es sont prises en compte dans le calcul de l’acquisition des droits Ă  congĂ©s payĂ©s article R. 5122-11. Ce dispositif n’a donc aucune incidence sur le calcul des jours des congĂ©s payĂ©s de vos salariĂ©s. RĂšgles d’articulation entre chĂŽmage partiel et arrĂȘt dĂ©rogatoire En cas de mise en place de mesures de chĂŽmage partiel par votre entreprise, les rĂšgles suivantes s’appliquent si l’activitĂ© exercĂ©e dans l’entreprise est totalement ou partiellement interrompue, les arrĂȘts de travail dĂ©rogatoires pour garde d’enfants ne s’appliquent plus. Si cette interruption intervient alors que votre salariĂ© bĂ©nĂ©ficie d’un arrĂȘt dĂ©rogatoire en cours, vous devez y mettre un terme en le signalant Ă  l’assurance maladie. si vous dĂ©cidez de rĂ©duire votre activitĂ©, il n’est alors pas possible de cumuler un chĂŽmage partiel avec un arrĂȘt de travail dĂ©rogatoire. Votre salariĂ© concernĂ© par un arrĂȘt de travail dĂ©rogatoire continuera Ă  en bĂ©nĂ©ficier jusqu’à son terme et ne devra pas ĂȘtre placĂ© en chĂŽmage partiel ; si votre salariĂ© bĂ©nĂ©ficie d’un arrĂȘt maladie en dehors des arrĂȘts dĂ©rogatoires et que vous rĂ©duisez ou interrompez votre activitĂ©, votre salariĂ© reste en arrĂȘt maladie jusqu’à la fin de l’arrĂȘt prescrit. Loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 En bref Le service DADS-U CI-BTP » ne permet pas d’envoyer des donnĂ©es Ă  d’autres organismes que les caisses CongĂ©s IntempĂ©ries BTP. aux caisses CongĂ©s IntempĂ©ries BTP. Pour vĂ©rifier la conformitĂ© de votre dĂ©claration DADS-U CI-BTP Ă  la norme en vigueur, vous avez la possibilitĂ© d’envoyer un fichier test en ligne. L’application n’accepte pas les fichiers compressĂ©s Zip. Qui et quand dĂ©clarer ? La dĂ©claration DADS-U CI BTP doit ĂȘtre transmise en EDI dĂ©pĂŽt d’un fichier extrait d’un logiciel de paie ou de gestion Ă  la norme en vigueur Cahier technique N4DS V01X16 mars 2021 – PDF – 2,52 Mo Documentation, tables de rĂ©fĂ©rences BTP, foire aux questions, aides au remplissage en cliquant ici Les Ă©chĂ©ances dĂ©claratives sont DĂ©clarations PĂ©riode de rĂ©fĂ©rence Date d’ouverture Les dĂ©clarations annuelles aux caisses CongĂ©s IntempĂ©ries BTP Du 1er avril n-1 » au 31 mars n » Peut ĂȘtre transmise Ă  compter du 1er avril de l’annĂ©e en cours Les dĂ©clarations annuelles Ă  la caisse CongĂ©s BTP de la RĂ©union Du 1er novembre n-1 » au 31 octobre n » Peut ĂȘtre transmise Ă  compter du 1er novembre de l’annĂ©e en cours L’envoi de dĂ©clarations avec une pĂ©riodicitĂ© autre qu’annuelle, c’est-Ă -dire mensuelle ou trimestrielle, est Ă©galement possible mais ne peut se faire qu’avec l’accord prĂ©alable de la caisse CongĂ©s IntempĂ©ries BTP destinataire. Les dates limites de transmission des dĂ©clarations annuelles, trimestrielles ou mensuelles sont prĂ©cisĂ©es dans le rĂšglement intĂ©rieur de chaque caisse CI-BTP. Un avis de dĂ©pĂŽt Ă  l’écran vous garantit que l’envoi s’est bien dĂ©roulĂ© et a bien Ă©tĂ© pris en compte. Pour utiliser ce service Pas encore inscrit sur ? Inscrit Ă  mais pas Ă  ce service VĂ©rifiez dans la mesure du possible au sein de votre entreprise si vos collĂšgues sont dĂ©jĂ  inscrits. Une fois votre inscription finalisĂ©e, vous accĂ©derez au service 24 h aprĂšs la fin de votre inscription. A partir de vote menu personnalisĂ©, sĂ©lectionnez DADS-U CI-BTP » et accĂ©dez Ă  ce service dĂšs le lendemain. Je m’inscris sur Je me connecte sur mon compte

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